mardi 23 avril 2013

Mon cadeau d’anniversaire pour l’an 2014

A l’occasion de mon anniversaire en ce jour du 23 Avril 2013, la surprise pour moi a été de recevoir plusieurs souhaits et cadeaux de toute part. Parmi les cadeaux que j’ai reçus se trouvent : un déjeuner à un restaurant que j’ai l’habitude de fréquenter, des dizaines de messages sur facebook, email, skype, SMS et appels téléphoniques des amis, collègues et partenaires. En dehors du repas de ce soir, qui m’a été offert par ma famille, la publication de ma lettre aux hommes religieux du Gabon par le journal Ezombolo et une lettre de souhaits envoyée par un frangin de la diaspora sont considérés pour moi comme mes meilleurs cadeaux d’anniversaire. Dans la lettre du frangin, une phrase a retenu mon attention : ‘’Joyeux anniversaire André, et puissent tous les souhaits et les rêves dont tu rêves se tournent aujourd'hui à la réalité’’.Ci dessous l’intégralité de la lettre du frangin : André, En espérant que ta journée d’anniversaire sera aussi spéciale comme tu l’as pour nous qui te sommes chers. Que ta vie soit un chemin rempli de sourires, pas des larmes. Que ton âge soit compté par le nombre d’amis, pas des années. Je suis tellement content que tu sois né, car tu éclaires les vies de beaucoup et les remplis de joie. Puissent les années continuent d'être bonnes pour toi. Joyeux anniversaire mon frère et ami bien aimé! Tu n’es pas entrain de vieillir André, c’est du chantage ou le congossa. Tu es entrain d’aller de mieux en mieux. Puisse cette année t’apporter avec elle tout le succès et l'accomplissement du désir de ton cœur. Je te souhaite toutes les grandes choses dans la vie, espérons que cette journée t’apportera une part supplémentaire de tout ce qui te rend heureux. Joyeux anniversaire, et puissent tous les souhaits et les rêves dont tu rêve se tournent aujourd'hui à la réalité. Qu’elle t’apporte toutes les choses qui te font sourire. Joyeux anniversaire! Tes meilleures années sont encore devant toi. Les anniversaires sont généralement remplis des souvenirs d'hier, les joies d'aujourd'hui, et les rêves de demain. Tu seras toujours éternellement jeune André, bon courage et prends bien soin de toi. Ton frangin de la diaspora! Je m’inspire de cette lettre du frangin pour dire aux gabonais que le départ d’Ali Bongo du pouvoir doit être une réalité et non une science fiction. Je dis à Ali Bongo et son système criminel intégré qu’ils ont perturbé mon anniversaire. Je regrette qu’ils soient nés, et surtout le fait qu’ils fassent partie de la population gabonaise a dérangé mon anniversaire. Mon anniversaire est rempli des mauvais souvenirs d’hier du régime d’Omar Bongo Ondimba et d’Ali Bongo Ondimba. La tristesse d’aujourd’hui liée à la dictature, aux crimes : rituels, financiers, crimes contre l’humanité, au vol, à la corruption etc ne m’ont pas permis de me réjouir de ma nouvelle bougie. Mon anniversaire est perturbé par l’idée de l’existence de votre système criminel intégré qui tue les rêves de demain des gabonais. Vous êtes inutiles pour notre pays. Mon souhait de cette année est de fêter mon anniversaire l’année prochaine sans Ali Bongo Ondimba au pouvoir, le grand commanditaire des crimes rituels, et ses complices. Je compte sur tous les gabonais de la diaspora, la société civile et sur la vraie opposition qui feront tout ce qu’il faut pour que cette année, le départ de ce chef de gang du pouvoir soit effectif. Ceci est mon grand souhait en ce jour d’anniversaire! Merci pour tous ceux qui m’ont souhaité et continuent à me souhaiter joyeux anniversaire.

jeudi 11 avril 2013

Congrès : PDG-Bongo Ondimba ‘’ce machin’’, Consortium du système criminel intégré

Le PDG-Bongo Ondimba est un consortium des alliés d’une machine Machiavélique construite depuis près de 50 ans pour entretenir et pérenniser un système criminel intégré dont le seul but est de corrompre : les faibles, les opposants, la société civile, l’opinion nationale et internationale a travers les achats de conscience avec l’argent du contribuable gabonais ; voler et détourner les deniers publics ; piller les ressources naturelles du pays ; tuer : les opposants, les adversaires de leur système et la population par des crimes rituels, le poison et autres moyens. Le dictionnaire du droit privé de Serge Braudo définit un consortium en ces termes : « un consortium est une entente entre plusieurs personnes, associations ou entrepris en vue d'une coopération pour l'exécution d'une ou plusieurs opérations économiques, financières, scientifiques ou culturelles. Sa durée est celle de l'activité pour laquelle ses fondateurs l'ont prévu. Il constitue un groupement dépourvu de personnalité morale. Généralement en application de la convention qui règlemente les rapports des consorts, les membres peuvent se constituer solidaires et se représenter mutuellement comme le feraient les associés d'une société en nom collectif ». Cette semaine, nous avons vu le PDG se regrouper dans une solidarité diabolique pour poursuivre son agenda laissé par les fondateurs de ce parti et révisé par l’arriviste et opportuniste Ali Bongo Ondimba Alias : ‘’ l’homme inique et sinistre aux ambitions personnelles et égoïstes ‘’ dont l’objectif est le pouvoir et toujours le pouvoir. Cependant l'utilisation de l'appellation "consortium" n'est réglementée par aucun texte légal ou règlementaire. Le consortium ne constitue donc pas un type de société civile ou commerciale, de sorte que, ce qui peut porter à confusion, son utilisation étant libre, on constate que le mot "consortium" entre couramment dans la raison sociale d'entreprises sociétaires ou de groupements d'entreprises. Dans le cas du Parti Démocratique Gabonais, nous avons un parti entreprise qui est ‘’omniprésent’’ et ‘’omnipotent’’ dans tous les secteurs du Gabon. Le PDG n’est vraiment pas un parti mais un consortium mafieux qui aujourd’hui attend son déclin. Le consortium est aussi un groupement, réunissant sous une direction unique des moyens financiers ou matériels, en vue d'exécuter en commun des opérations déterminées. Synonyme : « société, corporation, fédération, holding, trust, affaire, coopérative, association, pool, entreprise, établissement, cartel ». Le bilan du congrès du consortium ‘’Parti démocratique Gabonais'' ce « machin » dirigé par feu Omar Bongo Ondimba dans le passé et Ali Bongo Ondimba dans le présent est un bilan tristement horrible, sinistre et dégoutant. Dans ce pays sans foi ni lois, le théâtre auquel le PDG a soumis les gabonais cette semaine est un spectacle qui devrait plonger le pays dans un deuil national. À la vue des images de l’anniversaire du PDG dont nous connaissons les résultats qui ne sont pas à commenter mais plutôt à pleurer. Les indicateurs avant la mort d’Omar Bongo Ondimba étaient clairs et ceux du temps d’Ali Bongo Ondimba sont tristement ‘’éloquents’’. Notre pays va très mal et l’arrivée d’Ali Bongo est venue empirer les choses. Les maux ont soi ; doublés, triplés ou quatriplés. Apres près d’un demi siècle ( 50 ans) de gestion du pays, nous n’avons d’autres choix que celui de constater que le Gabon a malheureusement des gens sans conscience nés avant la honte ! Au vu du sinistre spectacle triste a regarder que nous a soumis le PDG-Bongo Ondimba, nous faisons appel au gabonais de rentrer dans le deuil et dénoncer et combattre avec passion et sans état d’âmes ce groupement PDG-Bongo Ondimba dépourvu d’éthique et de personnalité morale. En ce temps d’anniversaire du PDG, en ce temps de tristesse et de deuil national où nous voyons ceux qui ont détruit et continuent à détruire les richesses : naturelles, morales, politiques et sociales de notre pays ‘’célébrer nous ne savons quoi ", l’UPG de PMM « des Amériques et d’Asie » condamne l’esprit de fête, de célébration de victoire qui anime cette semaine les dirigeants du PDG et leurs prosélytes. Il n’ya pas un ancien et un nouveau PDG, il ya un seul PDG ! Le PDG-Bongo Ondimba du système criminel intégré constitué en consortium des mafieux. Nous banalisons et rejetons avec la dernière énergie le faux bilan présenté par les dirigeants du consortium PDG-Bongo Ondimba et rejetons leurs objectifs pour les années futures. Nous demandons aux gabonais de tous bords y compris ceux du PDG qui ont quittés l’idéologie Machiavélique de ce système criminel intégré et qui pensent autrement aujourd’hui à : doubler de vigilance, à se mobiliser pour combattre ces objectifs et lutter pour la chute de ce système dirigé par Ali Bongo Ondimba, Accrombessi Maixent et Nzouba Ndama. Dans ce même objectif, nous annonçons l’ouverture dans les jours qui viennent d‘une campagne officielle contre ce système et aussi l’ouverture d’un site en anglais dont l’objectif est de mettre à nu les dérives du système PDG-Bongo Ondimba et ses responsables. Les crimes rituels, la corruption, la dictature, le pillage du pays, la nature criminelle d’Ali Bongo Ondimba et s'alliés proches etc. feront au quotidien le menu du site. Le site qui sera optimisé et qui aura pour objectif informer le public américain et anglophone en dehors des États-Unis sera un site apolitique. La lutte continue jusqu'à la chute du consortium PDG-Bongo Ondimba ! André Bouassa

mercredi 6 mars 2013

UPG : Route vers le congrès, rencontres stratégiques aux Etats-Unis

L'UPG doit etre un parti de tous et un instrument pour la liberation
 
Dans le cadre d'un agenda appelé : " route vers le congrès ", l'Union du peuple Gabonais organise du 5  au 10 mars 2013 des rencontres dans la capitale politique de la Caroline du Nord. Ces rencontres ont pour participants les délégations venues du Gabon, d'Europe, du Canada et des différents États des États-Unis.
            Des reunions dans un pays exemple de democratie et de respect des droits de l'homme

 Après les USA, le tour reviendra aux rencontres de Paris et celles du Gabon.
Ces rencontres font suite a  plusieurs mois de travail et de réflexions des responsables et membres du parti épris de l’esprit du changement et de la poursuite du Combat laisse par le président Pierre Mamboundou Mamboundou. La rencontre des USA est l’occasion pour les Upgistes de répondre aux interrogations non exhaustives suivantes ;

1/ Quel avenir pour l’UPG dans un contexte de délitescence interne?

Comment ramener la sérénité au sein du parti devant l’obstination du Secrétaire Exécutif à maintenir coûte que coûte le statu quo?

2/ Dans ces conditions, comment et quand organiser le 1er Congrès National du Parti et avec quels moyens?

3/ Comment mettre en œuvre le plan B devant permettre aux Loyalistes de poursuivre la lutte?

4/ Quelle place l’UPG entend occuper sur l’échiquier politique national et quel rôle devra-t-il jouer pour accélérer l’alternance politique au Gabon?

5/ Comment participer aux prochaines élections locales dans des conditions de transparence sujettes à caution du fait d’une biométrie galvaudée?

6/ Comment remobiliser la base de l’UPG totalement déconcertée?

Toutes ces interrogations devraient susciter une réflexion plus approfondie de la part des Upgistes.
Nous pensons qu’un simple brainstorming, bien qu’étant un outil de résolution des problèmes, ne suffit pas pour mener pleinement une telle réflexion. D’autres outils sont nécessaires notamment, la réflexion stratégique pour définir des stratégies possibles et une tactique pour parvenir à nos objectifs.
 

                       Etre anime de la passion de liberation d'un systeme criminel est notre seul but

Une certaine discipline doit être observée dans la démarche préconisée, forme d’introspection, qui commande d’écarter tout acteur politique serieux ou social extérieur. Nous invitons les sympathisants, les membres de l'UPG, les partisans du changement et le peuple gabonais à nous soutenir dans cet esprit dont l'objectif est la réorganisation et la mobilisation du parti contre le système Ali Bongo Ondimba-PDG.


Ce système diabolique qui détruit jours après jour notre pays et orchestre les crimes rituels. Notre but est de poursuivre et accomplir la vision du Président Mamboundou Mamboudou, vision qui consiste à l'établissement d'un État de droit et d'une nouvelle république sans Bongo Ondimba-PDG.


                                                   Tous unis, nous y parviendrons

lundi 28 janvier 2013

Tentatives d’assassinat des Gabonais à Washington DC, M. Michael Moussa Adamo et Ali Bongo seraient-ils impliqués?


Au moment où le compatriote Jean Mikouma « Soukous pour les amoureux du ballon rond » rentrait chez lui, à peine il a ouvert sa porte principale, quatre balles sont allées détruire cette porte qu’il venait de fermer. Et le même tireur a détruit la vitre arrière du coté droit de la voiture de son ami. Cet incident est le deuxième incident à l’espace de quatre jours.
Le samedi 26 de ce mois, dans le cadre d’une réunion de réflexion  à laquelle je devais prendre part, une réunion dont le sujet était : comment rendre la communauté gabonaise des USA plus responsable en créant des petites et moyennes entreprises a eue lieu à Washington DC.
Pendant que les compatriotes se réunissaient, des coups de feu se sont fait attendre en dehors de la maison. Pris de panique, les compatriotes se sont cachés dans la chambre et la cuisine afin d’être à l’abri de toutes balles perdues. À la fin de la rencontre, le compatriote François Ngouahinga se rentra compte que sa voiture a été criblée de quatre balles.
Les coups de feu de ce lundi 28 janvier ne donnent aucun choix si ce n’est de croire que l’incident de samedi n’était pas un fait accidentel ou un fait du hasard. Depuis l'hold up électoral de 2009 la communauté gabonaise aux USA a été très active contre le pouvoir criminel intégré d’Ali Bongo Ondimba. Grâce à nos actions contre ce pouvoir de Libreville, Ali Bongo n’est plus libre d’entrer et de sortir des USA sans avoir des soucis. Son nom, les noms des membres de son gang sont dans les dossiers classifiés des Américains.
Le documentaire de la chaine ABC, le rapport du Sénat Américain sur les Bongo et plusieurs parutions du nom d’Ali Bongo et le système PDG dans la presse américaine sont des faits dont le squatter du bord de mer ne pardonne pas à la communauté gabonaise aux USA.
Pendant que nous nous préparons à aller manifester à l’Université d’Oregon, le dossier Leon Obame qui n’a pas encore pris fin suit son cours. Ce dossier Leon Obame que l’Ambassadeur Michael Moussa Adamo et  Ali Bongo ont perdu juridiquement est un cri d’alarme pour eux et un message sur le danger que constitue les opposants et activistes gabonais des États-Unis.
M. Jean Mikouma est un ancien combattant qui a servi dans l’armée américaine. Cet homme aimé de la communauté gabonaise n’a pas de problème majeur avec qui que ce soit. La grande question qui se pose est celle de savoir pourquoi des hommes armés se sont en l’espace de quatre jours présentés à sa maison de M. Jean Mikouma et pourquoi ont-ils tirés sur les voitures et la porte ? Pourquoi les autres gabonais ont été la cible de ce groupe armée ?
Ali Bongo Ondimba, Michael Moussa Adamo seraient-ils derrière ces actes pour se venger de la défaite juridique qu’ils ont subie sur l’affaire Michael Moussa-Leon Obame, Leon Obame-Ambassade du Gabon et aussi se venge t-ils sur tous les dégâts que  les gabonais de l’opposition aux USA ont causés au pouvoir émergent?
S’ils ne sont pas impliqués, leurs proches ou les gens de leur parti le seraient-ils ? Dans tous les cas, la justice américaine s’est saisie de ce dossier depuis ce soir. Quelques soi le temps que cela prendra, les commanditaires de ces actes seront découverts. Ali Bongo et Michael Moussa prendraient des risques énormes d’intimider les Gabonais de la sorte ou même d’abattre des Gabonais sur le sol américain. Nous sommes au courant des espions que le pouvoir a mis dans nos villes pour nous suivre et nous sommes conscients que ces gens courent leur risque.
Nous savons aussi que le pouvoir émergent est un pouvoir assassin et criminel. En 2009-2010, plusieurs Gabonais ont reçu des appels anonymes d’intimidations des espions de ce pouvoir. Ceux-ci ont laissés après que nous ayons contacte le FBI. En 2012, un de nos compatriotes de l’opposition dans un pays de l’Occident a été empoisonné par le système PDG. Celui-ci a raté de si prêt la mort. Des investigations suivent leur cours et le résultat sera connu tôt ou tard. Nous savons très bien que le pouvoir émergent est entré en guerre contre nous depuis longtemps, nous n’avons pas peur de ce pouvoir. Nous le combattrons jusqu'à sa chute.
 Un seul message à lui donner, quiconque fait le terrorisme sur le sol américain le paiera très cher.

Qui vivra verra !

 

 

Pourquoi Ali BONGO-ONDIMBA est-il aussi détesté par ses compatriotes gabonais?

THÈMES DU DÉBAT :
1. Pourquoi Ali BONGO-ONDIMBA est-il aussi détesté par ses compatriotes gabonais?
2. Quel avenir faut-il réserver aux infiltrés du PDG?
 
INVITÉS: M. André BOUASSA (Caroline du Nord), Léon OBAME (Caroline du No...rd), M. Jacques ROGER (Washington DC).
 
LIEN DE L'ÉMISSION DÉBAT "DR MOUKETOU REÇOIT - INRI RADIO WASHINGTON DC DU 27/01/2013:
 
EXCELLENTE ÉCOUTE:

samedi 26 janvier 2013

Les dix méthodes pour enlever ou renverser un dictateur comme Ali Bongo du pouvoir


     Ali Bongo et son gouvernement des mapannes dit: ''gouvernement fantome'' qui ne gere rien

Pour déstabiliser Ali Bongo Ondimba et l’enlever du pouvoir qu'il a volé à travers les mensonges, la ruse, la fraude et le meurtre de notre peuple, la résistance pacifique suffit-elle ou la force est le seul moyen d’y parvenir?
Quelque soit ses racines, une dictature finie toujours par tombee
 
Enlever ou renverser Ali Bongo Ondimba n’est plus une question à débattre mais plutôt une chose à faire. Le monopole de cette action ne revient plus à un seul leader d’un parti de l’opposition ou un quelconque leader gabonais. Qu’ils se nomment :  André Mba Obame, d’ Ogouliguende, David Mbadinga de l’Union du peuple Gabonais Loyalistes. Cela n’est pas aussi la seule responsabilité des leaders de la diaspora comme : Andre Bouassa, Daniel Mengara , Jean Nduanis, Bruno Ella Nguema, Guitsutsu, Telesphore Obame Ngomo, Patrick Ambamany, Henry Omva, Jean Aime Mouketou etc. C’est une affaire de tous, une responsabilité  individuelle d’une part et d’autre part, une responsabilité collective. Au vu des dégâts que le système Bongo-PDG cause, renverser Ali Bongo Ondimba du pouvoir devient même une responsabilité morale.
 L’urgence d’une créativité s’impose et l’expertise de tous est nécessaire. C’est le temps de mettre tous les moyens en place. Alors, quels sont les moyens que nous pouvons utiliser pour nous débarrasser d’Ali Bongo Ondimba et libérer le pays de près de 50 ans de captivité par le système criminel intégré ‘’Bongo-PDG’’ ?
Souvenons-nous et ne soyons pas naïfs : aucune dictature en Afrique ne peut être éliminée ou enlevée par des moyens pacifiques, encore moins celle des Bongo-PDG.
Tous les dictateurs sont enlevés par la «force» ou par la « pression » interne (nationale) ou externe (internationale).
Rappelons-nous qu’un dictateur est un homme qui s’attribue des pouvoirs exclusifs et absolus ... et il dicte « le peuple à se taire, à l’écouter et à  le suivre, il a perdu tout bon sens » la politique, alors il va utiliser son pouvoir pour écraser toute résistance pacifique contre lui. C’est à cela qu’Ali Bongo Ondimba s’adonne aujourd’hui. Nous l'avons vu dans le printemps arabe, jusqu'à ce que la force du peuple s’impose. Je dis et j’insiste : aucun dictateur n’a quitté son poste pacifiquement. Tout système qui écrase toute résistance à toujours malheureusement payé double de ses crimes.
Ce dictateur finit par être lunché ou exécuté par le peuple sous prétexte de vengeance. Quand un dictateur ne comprend pas le peuple et devient le bourreau de son peuple comme le fait Ali Bongo sans le réaliser, ce même peuple deviendra son bourreau et le traitera sans compassion. Parmi ce peuple se trouveront certaines personnes qui ont mangés sur la même table que lui.
Dans le cadre de la pression internationale, l’Organisation des Nations Unies est supposée être la pression externe la plus importante pour aider les dictateurs que nous avons entre nos mains à quitter le pouvoir, mais en ce moment où est l'ONU ?
Elle qui toujours emploie nos forces armées en tant que gardiennes de la paix ou utilise ces mêmes dictateurs comme Ali Bongo dans la résolution des conflits dans nos régions. Nous devons mettre en doute l'intégrité de l'ONU dans ce volet en raison de ses doubles standards. Mettre aussi dans le même sac l’Organisation de l’Union Africaine que dirigeait Jean Ping. En demandant  à Ali Bongo d’être au centre des négociations du conflit Centrafricain, l’ONU et l’Union Africaine se mettent dans une position ridicule. Le monde entier connait qu’Ali mérite un sort plus sévère que celui deFrançois Bozizé imposé par la  Seleka.
Tout ce que nous avons en ce moment en tant que Nation souveraine, c'est notre citoyenneté, notre fierté, la fierté dont a laissé Léon Mba quand il parlait de ‘’ Gabon d’abord’’. Ce n'est pas le moment pour n'importe quelle résistance ou n’importe quelles rencontres avec Ali Bongo. Une résistance légère fait le lit de ce système criminel intégré  qu’est  Ali Bongo Ondimba-PDG. Toute réunion avec celui-ci n’est que légitimation  et pérennisation de son pouvoir. Ali se moque de l’opposition gabonaise et des gabonais en fabriquant des réunions sans tète ni queue. Il pense tromper la vigilance de l’opinion nationale et internationale. Maintenant qu’il veut organiser les élections locales, il a décidé de vouloir conduire encore l’opposition gabonaise a l’abattoir. Cette opposition est-elle consciente encore ?
C’est une sorte de complicité que d’aller s’assoir avec Ali et son gang sous un prétexte de biométrie ou des dossiers sur la sous-région. Quel que soit le meilleur système biométrique mis en place, Ali ne quittera jamais le pouvoir même s’il est battu à plate couture. L’heure est venue de se radicaliser et de se désolidariser du pouvoir criminel intégré, pouvoir spécialisé dans la corruption, le détournement des deniers publiques, les biens mal acquis, l’ingéniosité  dans les crimes rituels et aussi dans la criminalité démocratique.
Les dix méthodes qui permettent de se débarrasser des dictateurs comme Ali Bongo Ondimba avec des exemples précis, une de ces méthodes sera appliquée tôt ou tard à Ali Bongo et ses proches par les gabonais :
                 Le sort d'Ali Bongo Ondimba est lié a celui de ces gens sur cette photo
1. Le peuple a souvent renversé les dictateurs (par des agences ou organismes étrangers). Ces dictateurs sont mis hors du pouvoir avec leurs familles et sont envoyés en dehors du pays - par exemple, le shah d'Iran, Marcos des Philippines.
2. Organiser une révolution violente et tuer le dictateur - par exemple, Ceausescu en Roumanie.
3. Enlever le dictateur par des moyens légaux tels que les élections, mais lui permettre de rester dans le pays. il y a un grand risque qu’il revienne aux affaires et cherche à se venger - par exemple, Daniel Ortega du Nicaragua.
4. Les puissances étrangères (jusque-là qui maintiennent le dictateur) forcent le dictateur à l’exil sans intervention de l'armée - par exemple, Matyas Rákosi de la Hongrie a été exilé par les Soviétiques au Kirghizistan en 1970 « pour soi-disant raisons médicales".
5. Les puissances étrangères rentrent dans le pays en complicité avec les locaux (ces mêmes puissances qui ont maintenu ces mêmes dictateurs) et renversent le dictateur - par exemple, Saddam Hussein de l'Irak ou de Manuel Noriega du Panamá.
6. Le dictateur se tue dans un acte de désespoir - par exemple, Hitler en 1945.
7. Le dictateur est assassiné par ses proches - par exemple, Jules César de Rome en 44 après JC a été poignardé par 60-70 personnes (une seule blessure était mortelle) ou Laurent Désiré Kabila de la RDC.
8. Organiser des grèves et des troubles pour paralyser le pays et convaincre même l'armée de ne pas soutenir le dictateur - par exemple, Jorge Castañeda y Ubico a été évincé au Guatemala en 1944, Moubarak d’Égypte a subi le même sort.
9. Une interdiction de revenir au pays après un voyage du dictateur-par exemple le président Enrique Ortez. Zelaya de Honduras .
10. Une rébellion militaire à partir de la capitale ou d’une région du pays- l’exemple centrafricain et de plusieurs pays africains.
                       Ali doit eviter aux Gabonais de ressembler a ce type de la rebellion




                                                  Auteur :  Andre Bouassa